Bientôt, des millions, peut-être des milliards périraient. Les civilisations rendues à leurs instincts s’anéantissaient enfin avec la certitude qu’il ne sortirait aucun vainqueur de ce stupide et merveilleux affrontement...
Quelque part, sur un monde préservé, ces gens vivaient heureux ...
Cela a commencé pendant une triste nuit, le long d’une route solitaire de campagne, alors que Jean-Bernard Brouchemou cherchait un raccourci que jamais il ne trouva.